N’oublions pas que le « collaboratif » n’est pas un fin en soi, c’est une manière exigeante de co-créer avec d’autres dans un exercice complexe, comme de nombreuses problématiques à résoudre, qui obéit à certaines règles…
Pour aller plus loin, voici deux billets de Meryem Le Saget, experte internationale en vision partagée et conduite du changement, publiés dans Entreprise & Carrières :
Il est de bon ton de considérer que « coopérer » (action de participer à une oeuvre commune) va de soi. C’est même presque devenu une valeur : un mot qui sonne bien dans les discours mais dont on ignore finalement le contenu, la valeur ajoutée, les règles et les limites.
A force, on finit par nier l’évidence : coopérer est beaucoup plus difficile que de travailler « dans son coin » (même si mon coin est une Direction voire une BU dans un grand groupe). Avant de « participer à une oeuvre commune », mieux vaut s’assurer que ça en vaut la peine et que l’on est armé pour cela : voici quelques éléments qui pourront vous guider dans votre réflexion :
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